Édito : j’adore ce mot : )
Comme dans mes vieux numéros de Casus Belli ou de Gameplay RPG et Background.
L'époque de mes premiers frissons vidéo ludiques dont chaque opus de la saga Final Fantasy fut, tous les deux ans environ, ma plus grande attente d'adolescence. Les germes de cette envie naissante en moi de raconter des histoires qui dépassent l’ordinaire sous toutes ses formes… D’un média à l’autre, de l’écran au papier, de moi à la feuille vide.
Comme dans mes vieux numéros de Casus Belli ou de Gameplay RPG et Background.
L'époque de mes premiers frissons vidéo ludiques dont chaque opus de la saga Final Fantasy fut, tous les deux ans environ, ma plus grande attente d'adolescence. Les germes de cette envie naissante en moi de raconter des histoires qui dépassent l’ordinaire sous toutes ses formes… D’un média à l’autre, de l’écran au papier, de moi à la feuille vide.
L’ÉCRITURE A TEMPS PLEIN !
Parce que j’ai deux mains, parce que je n'ai pas fait d’études de cinéma peut-être, parce que j’ai lu Bernard Werber et que, surtout, j’ai cherché
pendant sept ans dans quel livre Dieu avait mis ma mère, parce que Van Gogh vu
de notre époque a réussi sa vie (et là, tout est dit), parce que j’ai souvent
des « poèmes à chanter » dans la tête quand je me lève le matin. Parce
que l’écrit peut se pencher sur ce qui ne fait que transparaître à l’image, sur
les visages, dans les paroles, dans les actes et les non-actes, l’intérieur… Ce qui nous rassemble et nous ressemble.
Un artiste contemporain m’a dit un jour devant la perplexité
que j’affichais à la vue de l’une de ces œuvres : « L’art, ça sert à
sublimer les choses... ».
C’est ça oui, « sublimer les choses », voilà ce
que je veux faire par mon écriture, aller plus loin, plus haut, plus « profond »,
dans les abysses de nos concepts, là où l’oxygène se fait rare, tout au fond de
la mine, trouver du « jamais lu », du « jamais sorti »…
Faire comme tous les autres de mon espèce passé et à venir, décaler les regards,
nos regards, pour en faire des miroirs à nous-mêmes et à nos incomplets, tenter
de nous rendre meilleurs par de l’encre, essayer. Contrer les habitudes, les
préjugés et les automatismes humains. Défaire les masques, les facilités, les
raisons pour qu’à la fin de mes livres il n’y ait jamais de « méchants ».
Écrire, écrire une histoire, faire du grandiloquent, du
puissant, suivre mon imagination, mon opinion, ma colère et voir qu’à la
dernière page, il ne me reste plus rien d’elle… Voilà comment j’écris le plus
souvent, voilà comment je me fais volonté d’écrire, voilà comment j’aimerais
tout… Du noir à la lumière. Pour moi et surtout pour vous, j’espère : )
« Sublimer les choses pour tenter de sublimer les
gens. »
Pour ça, l'écriture à temps plein et tout ce qui rime autour avec...
Donc, un blog ! Un mec à penser à e-penser, mais
personne à e-écrire, je prends ! Pour y écrire...
Un blog : Une longue page d'accueil, un « capharn’a oim » : un édito, celui-ci, puis des poèmes de ma compo, des écrits comme des expériences littéraires... Puis, à la suite, plein de projets
d’écriture ou d'autres choses, des mots, des phrases, déchirées à mon cerveau, peut-être
un jour, ici...
Un onglet en haut : Juges et Coupables, mon truc
à moi, un amour, mon amour…
Puis plein d’autres onglets qui vont naître… Comme un enfant qui grandit, qui donne une
maison en carton à ses légo mais pas à ses playmobil. Une préférence pour abriter
ci, plutôt que ça… Un choix qui le définit lui-même !
Derrière la machine, le clavier, le ruban d’agrafes et de trous, moi,
plein de parenthèses, arrivé ici par un coup
de pied au cul (je n’avance que comme ça…).
Le tout d’un passionné, non, terme trop convenu… Un… Un
amoureux, voilà, un amoureux (non, c’est pas un gros mot…).
On part déjà du principe que je ne sais rien, mon avantage, c’est que moi je le sais…
On part déjà du principe que je ne sais rien, mon avantage, c’est que moi je le sais…
PS : Je ferais de mon mieux mais il y aura forcément des fautes ici ou là, parce que sans fautes, c’est que ça ne vit pas et moi je suis vivant...
Prends soin de toi cher découvreur. Ne pars pas trop loin et reviens vite.
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