Prendre pensée par le bout le plus absolu, le plus lointain, voilà comment il me faut écrire.
Par le bout, le plus absolu, le plus lointain, on ne peut nous contredire…
Par le bout le plus absolu, le plus lointain, là où tout corps fusionne
Là où tous mobiles s’abandonnent
Par le bout le plus absolu, le plus lointain…
Tout s’aime
Et tous l’on saigne !
Y a pas de méchants
Y a pas de gentils
Et rien que la vie
Qui nous broie,
Qui éprouve notre Foi
Sans religion
Et sans rémission,
Aucune
Le sable s’emporte ainsi à la dune
Par le bout le plus absolu, le plus lointain… que l’on puisse
Où l’on fond tout au bord d’un incommensurable précipice
Où l’on voit ses folies se décharner
Et son cerveau sublimement s’émietter
Devant sentiment
Bien plus grand
Comme un trou noir
De plumes
Qui emporte mon creux savoir
L’enclume !
Où la raison
N’a plus cours
Reste plus que… l’amour
Reste plus que l’Amour… essoufflé
De s’être trouvé
Et ce manque, manque, manque
Et ce manque, manque, manque
Qui nous planque…
Mal
Par le bout, le plus absolu, le plus lointain, on ne peut nous contredire…
Par le bout le plus absolu, le plus lointain, là où tout corps fusionne
Là où tous mobiles s’abandonnent
Par le bout le plus absolu, le plus lointain…
Tout s’aime
Et tous l’on saigne !
Y a pas de méchants
Y a pas de gentils
Et rien que la vie
Qui nous broie,
Qui éprouve notre Foi
Sans religion
Et sans rémission,
Aucune
Le sable s’emporte ainsi à la dune
Par le bout le plus absolu, le plus lointain… que l’on puisse
Où l’on fond tout au bord d’un incommensurable précipice
Où l’on voit ses folies se décharner
Et son cerveau sublimement s’émietter
Devant sentiment
Bien plus grand
Comme un trou noir
De plumes
Qui emporte mon creux savoir
L’enclume !
Où la raison
N’a plus cours
Reste plus que… l’amour
Reste plus que l’Amour… essoufflé
De s’être trouvé
Et ce manque, manque, manque
Et ce manque, manque, manque
Qui nous planque…
Mal
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