Vas-y plume, tabasse.
Tracasse
Fais
crier le morne et l’aveu
Pleurer
cerveau et abjurer Dieu
Tabasse l’écrit
vain, qui ne le sera plus ce soir…
Dissout moi en ces
yeux inconnus qui déjà ne veulent plus me voir…
Brule-moi vivant,
fais-moi fondre en eux
Le bucher est ardent
et j’ai hâte, ô combien, d’être souffreteux
Je suis là pour
ce sacrifice-là qui n’en est déjà plus un
Je n’ai pas l’égo
que c’est autre chose que je veux
Je n’ai pas l’égo
de ces Hommes de tiédeur
Qui voudraient
se faire croire Sauveurs
A qui le veux
Et de Dieu, je
veux bien passer à Diable
Pour juste avoir
le jus de cette pointe qui m’accable
Je n’ai que
toi
Que toi
Et l’essoufflement
De mes
tourments
Je n’ai que
toi
Que toi
Et ta pointe à
mon cœur, à mes doigts
Malades
GHrbg
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