Autrefois, ou par-devant, ceux qui ne s’appelaient pas
encore ou plus du tout les Hommes, se crurent immortels.
Ils vécurent longtemps, très longtemps… au moins 1 seconde, dans cet espace de temps sans heures jamais immobile. Jusqu’à acquérir
concept de tout l’existant en eux. Jusqu’à finir par devenir autre chose que de
la chair, encore autres choses que des Hommes… Des idées, des sentiments, des
anges et tout l’invisible aux mouvements des mers et à tes gestes d’aujourd’hui.
Mais, un jour, derrière, un grand mur se tendit devant eux et leurs vies d’alors. Un mur couleur argent, entourant toutes choses connues, comme un immense miroir
à ce qu’ils étaient devenus.
Y voyant là la fin de tout, ils appelèrent ça la Mort. Le
dernier temps.
Il y eut alors scission en deux volontés parmi eux.
Certains décidèrent de se donner au mur afin de ne plus être,
infiniment comblés par le tout de leurs existences, ayant su tout prendre comme
de la chance…
D’autres, dont le porteur de lumière, incapables de se faire
l’idée de l’inéducable, décidèrent de repartir dans le début du temps, la
matière et les mots afin de s’y préparer pour le jour venu tout en haut de leurs
existences.
Ceux-ci font le monde présent tel qu’il est, Nous. Dans vents contraires ou vents porteurs.
Ceux-ci font le monde présent tel qu’il est, Nous. Dans vents contraires ou vents porteurs.
Il est dit que personne n’a jamais réussir à franchir le
miroir, et que finalement même ceux voulant se donner à lui ont été renvoyés en
arrière, dans l’espace et le temps, au hasard dans l’invisible : Le vent. Mais
qu’un jour, quelqu’un franchira cette barrière.
Cette barrière se nomme en réalité l’Amour, car c’est un renvoi permanent vers le nous.
Cette barrière se nomme en réalité l’Amour, car c’est un renvoi permanent vers le nous.
Ainsi, les Hommes sont des En vies qui grandissent et qui se
refont sans cesse pour accepter l’Amour.
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